• Comment ça je ne suis jamais là?

    Meuh si, je passe de temps en temps....

    Juste histoire de donner quelques nouvelles: Je vais bien. Très bien même. Vacances mises à profit pour m'occuper de moi et ronronner de bien être dans les bras de mon p'tit loup.

    Ce soir, réveillon en famille... original non?

    Je vous embrasse, à très bientôt.

    Maîtresse, (de passage en ces lieux)


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  • Tu te souviens? je garde tout, je ne jette rien... pas étonnant qu'il y ait tant de choses dans ma maison!

    Ton arrivée sur mes pages m'emplit d'aise . Tu as ta place ici, invité privilégié. s'il y avait un carré VIP tu y aurais ta place. Et tu as raison, le meilleur moyen d'avoir de mes nouvelles est encore de fréquenter ces lieux.

    Tu resteras un très joli souvenir. De notre rencontre à nos dernières minutes partagées tu n'as été qu'un grand sourire pour moi. C'était une période très sombre pour moi. Tu le savais. tu as été en tous points à la hauteur. De ça, je ne saurai jamais assez te remercier.

    Notre histoire était atypique. Je crois qu'elle nous a fait beaucoup de bien, à tous les deux. nous avions un cap à passer, chacun dans notre vie. Notre rencontre nous y a aidé.

    Je garderai un souvenir attendri de nos longues ballades dans ta jolie voiture. Du moment de notre rencontre, lorsque tu ne pouvais soutenir mon regard. Tu es un garçon absolument adorable. je garde le souvenir aussi de moments doux, complices...

    J'aimerais cependant chasser le souvenir de ces images que tu m'as montrées et qui ont fait rejaillir des souvenirs si douloureux. Mais là encore tu as été à la hauteur. parfaitement présent. Merci.

    Ma seule crainte dans tout cela était de te faire perdre d'une maladresse la femme que tu aimes.

    Une parenthèse dans le froid de notre hiver. Un peu de chaleur humaine à partager. Se tenir la main pour avancer. Je me souviens parfaitement de notre dernière rencontre. Une nouvelle vie m'attendait. un  bonheur me tendait les bras. Tu te réjouissais pour moi. Et je crois que c'était sincère.

    Je ne regrette rien.


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  • Moral tout petit, petit,  ces derniers jours... Des souvenirs d'enfoirage qui me font peur et m'empêchent d'aller de l'avant.

    La trouille de m'attacher, la trouille de tomber amoureuse, la trouille de me sentir trop bien... et la trouille du retour de manivelle.

    C'est sans doute stupide et injuste mais c'est comme ça. Quand une histoire a aussi mal démarré que la notre (oui, je sais, il n'y était pour rien) il est fort peu probable qu'elle puisse trouver un équilibre.  Deux fragiles, deux bancales, deux écorchés qui de ruptures en retrouvailles de doutes en tendresse tentent tant bien que mal de panser leurs blessures. Cinq mois donc de pas en avant et de pas en arrière...

    Plusieurs jours à remâcher tout ça. Et un vague soupçon d'enfoirage qui me terrifie et me fait reculer à toutes jambes. Pourtant je suis bien avec lui. Tout simplement bien. Apaisée. Mais quel bénéfice tirer de ces moments si je m'enfonce dans mes doutes lorsqu'ils finissent?

    Vendredi soir, je me suis retirée sur la pointe des pieds. Trop lourd à porter pour mes frêles petites épaules. Et un réel problème de communication qui fait que les douleurs sont tues jusqu'à l'insupportable. Je me suis retirée lâchement, sans pouvoir, sans savoir mettre des mots.

    Et de revirements en coups de théâtre... j'ai passé la nuit de samedi avec lui. Les mots avaient été là, rassurants. Point d'enfoirage... ça ne m'empêche pas d'avoir une page à tourner. mais ça la rend peut être plus légère.

    Ce matin, je me suis échappée une heure. J'adore me promener dans les rues de Bx le dimanche.  Grand soleil.

     P'tit déj dans un café en regardant les passants. Je suivais de près la discussion de mes voisins de table: deux jeunes gens qui se rencontraient pour la première fois IRL.

    Le calme des rues sur le chemin du retour.

    La chanson d'Evanescence que l'on entendait dans la rue et que j'ai écouté en m'arrêtant un instant. 

    Ces deux gamins qui faisaient les fous dans le square, sur une balançoire à ressorts sour l'oeil bienveillant de leur mère.

    Mon P'tit Loup Garou profondément endormi dans sa tannière.

    ... ces petits riens qui font sourire la vie.


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  • Je me permets de reprendre tes mots ici... Craignant qu'ils disparaissent de tes pages effaçables. Si cela te déplait je les effacerai à mon tour.

    Et.... simplement merci.

    Pour que tes larmes cessent

    Pour que ton coeur sourie

    Pour que vienne l'ivresse

    D'amour et de vie

    Pour que tes yeux soient secs

    Et ton regard brillant

    Et pour que cesse

    Sans tarder, maintenant

    Le gris de tes tourments

    J'aimerais t'envoyer

    Un rayon de soleil

    Une vie toute repassée

    Un intérieur vermeil

    J'aimerais te livrer

    Comme on livre un colis

    Une tendresse méritée

    Un coin de paradis

    Que tu sois en vacances

    Les pieds dans les étoiles

    Le cœur au firmament

    Et les yeux sans voiles

    Publié par cyber-M à 11:47:05 dans mots 

     


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  • Atmosphère et moral plombés par ce qui précède... ne pas perdre de vue les petits plaisirs qui ont émaillé la journée.

    réveil en douceur, sans stress, sans retard... eu le temps de prendre mon quatrième petit déjeuner de l'année.

    Ai enfilé le jean de mes 15 ans (ou 17, je ne sais plus) bref, une antiquité. un beau lévi's patiné par des années de bons et loyaux services... qui n'a pas toujours été à ma taille selon les années.

    Quelques traits d'humour de mes loulous, qui sont à l'âge où ce trait se développe particulièrement.

    une bonne nouvelle concernant ma formation Socrates. (Bulgarie?)

    Une séance de massage chez mon Kiné (lampe chauffante, huiles essentielles...) rien que du plaisir.

    un mail inattendu, tendre et touchant m'a mis la tête en fête.

    Quelques mots de Play Boy, inhabituels venant de lui... touchée

    Une discussion tendre avec mon petit Loup garou... beaucoup de travail et fort peu de temps pour nous deux ces temps-ci... mais une nuit demain.

    la cigarette que je fume à l'instant.


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