• Ce soir, rencontre IRL pour certains de nos bloggueurs, parmi mes préférés.

    une pensée Emue pour Dame Claudia qui à ma connaissance (mais je me fourvoie peut-être) avait évoqué ce terme en premier.

    IRL...Institut de Rééducation Lombaire ? Ignoble Répétition Langagière ? Idéalisme Répété Laconiquement ? Identification Récréative Louvoyante ? Idylle Langoureuse Ratée ? Implicites Larmes Retenues ? Infidèle Rencontre Liquide ?

    Non, rien de tout ça. IRL signifie... In real Life... en bon français de France.

    Je n'y étais pas. De toutes façons je n'étais pas invitée. (si, si, je ne me déplace que sur carton gravé). Mais j'attends toujours de vos nouvelles. (pour me raconter, pas pour m'inviter, ça c'est trop tard maintenant.) Pis de toutes façons m'en fiche j'ai passé la journée et la soirée IRL avec Ellavoila du blog   des barrières dans les roues  (et toc)

    N'empêche que... je n'étais pas invitée à vous rejoindre...

    J'exige un compte-rendu détaillé.

    Exécution !

     Je vous envie mes petits chéris, j'espère au moins que vous avez bu un verre à ma santé !


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  • Mon P'tit Loup Garou habite en plein centre de bx, dans une jolie petite rue, sise dans un quartier que j'affectionne particulièrement. Même si m'y garer relève du casse-tête.

    Il y a quelque jours, alors que nous quittions sa tanière pour une course dont j'ai oublié le but, je me suis arrêtée devant la chouette librairie qu'il y a juste en face et dont la vitrine est constellée de petits sacs en plastique transparent contenant de chouettes bouquins.

    oh regarde ce bouquin... je le veux! dis-je! Ah bon? pour quoi faire me répondit-il? m'enfin mon p'tit gars, depuis le temps que je me traîne la réputation de meilleure suceuse du Sud-ouest, je veux vérifier s'il demeure toutefois quelques lacunes! (je rapporte ici des bribes du dialogue telles qu'elles me reviennent, j'ai la mauvaise habitude de ne pas me munir d'un dictaphone lors de nos conversations). La discussion en resta là. je précise que nous étions dimanche. Librairie closed

    Quelques jours plus tard, j'arrive chez lui. ô miracle, il a de la nourriture chez lui (miam) que des choses que j'aime, pour me faire plaisir (je craque, j'avoue) .

    Un sac en plastique noir traine sur le divan. A l'intérieur... ledit bouquin. J'avais envie de te l'offrir à noël mais je n'ai pas pu attendre.

    Un bisous doux au Loup garou... ravie maîtresse! n'avait plus l'habitude des petites attentions qui font ronronner.


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  • Je jette un oeil sur ma page d'accueil... deux pages donc. Les derniers post.

    Et je regarde les commentaires. Leur nombre plus que leur contenu, je connais déjà leur contenu.

    inauguration lancement de la belle bannière que caliban m'a offerte et remerciements au passage à tous les participants. 23 commentaires

    ouvrir un tiroir  et bis en résumé sur ces deux posts qui devraient n'en faire qu'un, je raconte une expérience particulièrement traumatisante pour moi. ça a été un effort considérable pour moi d'en parler. Très difficile. Et très important. commentaires: 2 pour le premier, et 6 pour le deuxième (dont la majorité portant sur la curiosité liée au post fantôme)

    des instants qui font sourire la vie Un post tout léger pour me remettre des tristes jours précédents 21 commentaires, bien peu dans le sujet.

    Merci un copier/coller d'un post dédié de Cyber-m qui m'a beaucoup touchée. 1 commentaire, son auteur (que je remercie sincèrement) pour autorisation.

    Bon j'arrête là, je suis perplexe. Les choses importantes sont différentes selon la personnalité de chacun. Je n'ai pas eu de message, justement là où j'en attendais, là où j'en espérais. là où je tombais vraiment le masque. là ou je sortais de l'anecdotique.

    J'ai pris un petit cachet qui fait voir la vie moins noire ce soir. je n'aime pas faire cela mais ça arrive. ça n'a rien à voir avec Blogland. mais il est vrai que parfois on est déçu.

    Tout ça pour te dire... que non, rien. Rien à ajouter


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  • Merci à Sélène. J'aimais beaucoup votre oeuvre... mais l'on m'y reconnaissait encore trop.

    Merci à Caliban pour cette bannière, issue de nombreux essais.

    Merci aussi pour tes précieux conseils techniques (euh.. à ce stade on appelle ça de l'assistance, n'est ce pas?) car sans toi, cette fort jolie bannière n'aurait peut être jamais été en ligne!

    Merci à Charmeur et Revek d'avoir résolu mon problème de vilaine bande noire....

    Merci à tous ceux et celles qui m'ont proposé leur aide.

    C'est beau l'entraide...merci!

    Maîtresse, très très contente de décorer sa résidence secondaire (et accessoirement divan de psy) et qui sera pleinement satisfaite lorsque l'affreux trait noir sera parti chez le voisin voir si l'herbe est plus verte.


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  • Deuxième version de la suite. J'ai effacé la première mouture dès sa publication. Trop crue. Une nouvelle mouture... édulcorée et plus courte. Inutile de s'éterniser.

    Il y a quelques jours, donc...

    Je suis nue,  allongée sur le ventre. Un froid glacial à l'extérieur, un temps à ne pas mettre une maîtresse dehors. Mais là j'ai chaud . Il est allongé sur moi, ses bras m'entourent, me caressent. Ses mots se font très doux, ses lèvres sur ma nuque, simples effleurement ou morsures qui me font frissonner de plaisir. Le temps s'est arrêté.

    Peu à peu, il me pénètre lentement, avec une grande douceur. Un désir immense de lui. Un bien être total. Le poids de son corps sur le mien, l'extrême douceur de ses caresses, le lent mouvement de ses hanches et de son sexe en moi.

    Parfois il s'interrompt, me couvre de caresses. A-t-il senti mon abandon ? Ses caresses se font précises, son sexe insistant. Peut être attend-il que je le repousse. Je ne le ferai pas... j'ai un vieux compte à régler avec un vieux démon. Et à cet instant précis je me sens prête à l'affronter. Je me sens confiante. Je me sens en sécurité. Je connais sa douceur, il connaît mes vieilles douleurs.

    Tout est tellement doux que l'on croirait une scène tournée au ralenti. Je m'abandonne à ses caresses. Nulle crainte en moi lorsqu'il sort le tube de gel de son tiroir. Nulle crainte lorsque qu'il me pénètre. Doucement, lentement...

    Aucune douleur... pourtant mes larmes coulent. Je pleure silencieusement. C'est l'affrontement entre la violence des images qui défilent dans ma tête et sa douceur à lui. Il essuie mes larmes, avec des mots très beaux que je garderai pour moi. Un petit trésor.

    Je ne veux pas qu'il s'arrête. Je ne veux surtout pas qu'il s'arrête. J'ai des images à effacer.

    Lorsqu'il a joui, s'est allongé sur moi, essoufflé, je me suis sentie victorieuse. Démon vaincu. jeu, set ... nul doute que le match suivra.


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